Nous avons déjà débattu bien des fois de cette question en commission des finances et dans l'hémicycle. La Corse bénéficie de cet « avantage » en échange de contreparties très lourdes, et on nous demande aujourd'hui de rentrer dans le droit commun. Nous y souscrivons pour des raisons sanitaires, mais aussi par réalisme face à la pression très forte de Bercy et de l'Europe. Fort bien, mais cela doit être l'occasion de toiletter les relations fiscales entre l'État et la Corse.
Sortez de la logique de la dotation pour entrer dans celle d'une fiscalité dynamique : c'est ce que nous vous demandons, comme on vous l'a demandé il y a cinq minutes pour l'ensemble des régions. Comprenez la logique qui est la nôtre, ce n'est quand même pas compliqué !