Non, monsieur le président, car je ne comprends pas la réponse. Il semblerait que, pour la deuxième fois, M. le rapporteur général me donne raison sur le fond, en disant qu'il peut y avoir un problème.
Les services du Gouvernement ont des moyens qui leur permettent de nous adresser des rapports détaillés. Nous attendons d'ailleurs encore celui qui traitera de la privatisation des autoroutes, demandé par un amendement voté voilà deux ans, et dont je suis ne doute pas qu'il nous sera remis et qu'il contiendra beaucoup d'informations intéressantes. Pourquoi nous dire que quelque chose d'autre est prévu ? Si ça ne fait de mal à personne et si vous considérez, monsieur le rapporteur général, qu'il y a un vrai problème, pourquoi ne pas demander ce rapport au Gouvernement ?