La solution alternative que vous proposez avec le développement de l'EIRL, madame la secrétaire d'État, est effectivement intéressante. Certains créateurs d'entreprises la retiendront, quand d'autres, actifs depuis plus longtemps, ne souhaiteront pas nécessairement y adhérer, alors que leurs besoins et parfois leurs difficultés de trésorerie sont réels. Accepter notre proposition aurait constitué une solution facile à mettre en oeuvre.
Je ne partage par ailleurs pas votre opinion quant à la complexité d'un tel dispositif, comme nous le prouve ce qui a été mis en oeuvre dans le secteur agricole.