Mme Verdier-Jouclas a bien fait de retirer les siens, car le débat qu'ouvrent ces amendements ne pourra avoir lieu qu'en seconde partie du projet de loi de finances. S'ils étaient adoptés en première partie, ces amendements provoqueraient un effet d'aubaine sur des établissements déjà certifiés haute valeur environnementale. Si l'idée est de créer un crédit d'impôt incitatif, il ne s'agit pas d'en faire bénéficier ceux qui n'ont plus besoin d'être encouragés. Je demande donc le retrait de tous ces amendements, dans l'attente de l'examen de la seconde partie du projet de loi de finances.