L'année dernière, nous avons adopté un mécanisme, le taux M, qui prévoyait une hausse allant jusqu'à 0,5 % du chiffre d'affaires de l'industrie pharmaceutique, en se fondant sur celui de 2018. Or celui-ci a été moins élevé que prévu et, si nous n'avions rien changé, le taux aurait explosé et l'industrie pharmaceutique aurait été contrainte de reverser à l'État une somme beaucoup plus importante que ce que le Parlement avait souhaité. Parce que nous sommes attachés à la traduction dans la réalité de ce que nous votons lorsque nous examinons le projet de loi de financement de la sécurité sociale, nous sommes défavorables aux amendements.