Cet épisode est proprement scandaleux ! Mais le scandale est aussi dans le silence assourdissant du Gouvernement. Ni la ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, ni le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse, d'habitude si prolixe, n'ont dénoncé cette atteinte insupportable à la liberté de pensée, à la liberté d'expression et aux libertés universitaires.