Ces deux amendements n'ont pas fait l'objet de discussions en commission des finances. Je m'exprimerai donc à titre personnel.
La question de la formation est effectivement centrale et mérite d'être posée. Si nous considérons que la lutte contre les violences faites aux femmes doit constituer une préoccupation majeure, notamment pour le ministère de la justice, cela doit se traduire dans les faits. Pour ma part, je rejoins mon collègue Pradié. J'ai d'ailleurs cosigné ces amendements, considérant que le sujet était d'importance, et que l'on ne pouvait pas, dans cet hémicycle, prendre des décisions qui ne seraient pas suivies des moyens budgétaires correspondants.