Madame Ménard, vous suggérez de régler le problème de la violence scolaire par une allocation de crédits. Nous croyons au contraire que le respect de l'autre et des enseignements n'est pas seulement une question de moyens, mais que c'est une culture qui doit être enseignée depuis le plus jeune âge. C'est pourquoi nous avons décidé d'investir dans le premier degré. Un plan de lutte contre les violences scolaires a en outre été annoncé par le ministre en août dernier.
Je suis donc défavorable à cet amendement à titre personnel, la commission des finances ne s'étant pas prononcée.