Une fois de plus, je l'ai combattue, je ne le répéterai jamais assez. La séparation est surtout – et c'est beaucoup moins drôle, monsieur Jumel – entre celles et ceux qui ressentent des craintes pour leur ressource en eau, pour demain, et celles et ceux qui n'en ressentent pas. Telle est la véritable difficulté.
Troisième constat, je ne veux pas qu'on caricature la position du Gouvernement, et peut-être aussi celle de la majorité parlementaire, chemin faisant. À part M. de la Verpillière, qui, tout en ne croyant pas au dispositif que je propose, a eu la gentillesse de me donner acte, au moins, de ce que je proposais quelque chose, de même que M. Viala, et je les en remercie. Tous les autres orateurs sont passés assez vite sur le sujet, mais j'aimerais m'y arrêter un instant : faut-il, oui ou non, simplifier la loi NOTRe sur la question de l'eau et l'assainissement ?