Sur la base d'un malentendu qui a été explicité, mais qui risque de se retrouver dans d'autres circonstances, n'avons-nous pas à réinterroger cette directive de 2014 qui dit à une association agréée de contribuer, comme il lui est demandé explicitement, à la gestion de crise, à la gestion de l'urgence, selon ses moyens., quand vous dites que sur la couverture des moyens de prélèvement, par exemple, il y a encore des problématiques qui se posent et des bases de référence qui visiblement ne sont pas totalement consolidées ? Ne faut-il pas revisiter cette disposition de 2014 qui vous confère une responsabilité dans l'urgence alors que finalement vous travaillez à juste titre sur le « bruit de fond » et que les enjeux sont considérables et sue la communication vous échappe dans le moment de la gestion de crise ?