Je salue de nouveau la nouvelle politique publique décidée par le Gouvernement en faveur des aidants. C'est, vous le savez, un sujet qui m'est particulièrement cher. Je propose d'étendre le champ du rapport à la situation des aidants après le décès de la personne aidée, comme le préconisent des collectifs d'aidants. Les quelques jours actuellement accordés dans le cadre légal ne suffisent pas à surmonter la douleur liée à la disparition de la personne aidée. Étudier cet aspect aurait du sens.