Elle en dit trop ou trop peu et ne constitue pas un moyen efficace de lutter contre l'antisémitisme, même sous ses formes les plus contemporaines.
Vivement controversé, ce texte ne l'est d'ailleurs pas qu'aux yeux de mon groupe parlementaire : nombreux sont les universitaires, les associations et les institutions qui protestent contre l'adoption de la définition de l'IHRA, l'Alliance internationale pour la mémoire de l'Holocauste. J'en veux pour preuve la tribune, relayée par le journal Le Monde, qu'ont signée près de 127 intellectuels juifs du monde entier pour interpeller la représentation nationale en soulignant la nature contre-productive de cette résolution.