Et c'est ce projet « sioniste », au sens moderne du terme, qui fait l'objet de critiques acerbes et de mouvements de solidarité à l'échelle internationale, ce qui est tout à fait légitime. C'est également la reconnaissance d'une Jérusalem réunifiée et indivisible comme capitale qui est source de controverses. C'est, enfin, la colonisation en Cisjordanie qui pousse majoritairement des femmes et des hommes à protester dans le monde entier.
Dans ce contexte, je n'ose songer que cette résolution soit prétexte à instrumentaliser le débat pour faire taire toute critique de la politique de l'actuel gouvernement israélien.