Il s'agit d'un amendement d'appel. Certains vins présentent parfois un goût ou un parfum de violette ou d'autre chose, car certains vignerons ajoutent à leur vin des poudres aromatiques de synthèse – les vignerons comprennent bien ce que cela signifie, techniquement. Pour moi, le vin ne doit avoir que le goût – de cerise, par exemple – que le terroir lui donne. Cet amendement vise donc à alerter sur l'utilisation des poudres et levures aromatiques de synthèse et à ouvrir le débat sur ce sujet : le goût du vin, c'est le goût du terroir, pas celui des poudres de perlimpinpin.