Une telle obligation entraînerait de grandes difficultés pour les producteurs et les commerçants. Je ne pense pas qu'un gestionnaire de marché puisse davantage conclure des conventions. En France, les centres-villes ont beaucoup de mal à trouver leur équilibre ; on compte beaucoup sur le commerce pour le faire et nombreuses sont les communes qui relancent leur marché. En faisant venir les producteurs proches, en circuit court, on améliore le bilan carbone, ainsi que la qualité des produits. Nous parlons ici de 1,3 à 1,5 % de produits invendus seulement. Laissons d'abord les producteurs et les gestionnaires de marché monter leurs marchés, nous verrons ensuite !