À plusieurs reprises au cours de la discussion, vous avez mis en avant l'ouverture des data, l'utilisant comme contre-argument pour vous opposer à certains amendements. Or notre collègue Vialay a raison : en réalité, les gens n'ont pas le temps de comparer ou de s'informer quand ils font les courses, qu'ils achètent des aliments ou des cosmétiques.