Contrairement à ce que vous avez affirmé, madame la rapporteure, on trouve bien, sur le marché, à des prix très bas, des produits qui ne peuvent pas être réparés et ne sont bons qu'à être jetés. C'est une réalité dont j'ai discuté notamment avec des commerçants de proximité. Nous considérons que l'État doit se montrer beaucoup plus strict : il faut interdire ce type de produits si l'on veut vraiment aller au bout de la cause que nous défendons ici.