Il vise à augmenter les crédits alloués aux aides au logement de 83,8 millions d'euros afin qu'ils suivent l'évolution réelle de l'inflation hors tabac, alors que le Gouvernement a opté pour une réévaluation forfaitaire de 0,3 % seulement. Cette sous-évaluation de l'inflation représente une perte moyenne de 12,70 euros par an pour les bénéficiaires des APL, qui viendrait s'ajouter à la baisse de 5 euros par mois décidée à l'été 2017. Il s'agit donc de préserver le pouvoir d'achat des ménages les moins favorisés.