L'amendement gouvernemental vise en effet à revenir sur une décision du Sénat consacrant 5 millions d'euros à la recherche sur les maladies vectorielles à tiques, notamment la maladie de Lyme.
La situation à laquelle nous faisons face aujourd'hui est préoccupante, mes chers collègues, puisque la maladie de Lyme fait partie des dix maladies infectieuses les plus fréquentes en Europe. Depuis 2016 aucun projet de recherche n'a été financé dans le cadre du plan national de lutte contre la maladie de Lyme. Consacrer des crédits à cette recherche serait un signe fort de notre volonté d'améliorer durablement la vie des patients.