Il y a ainsi onze bureaux de poste pour 80 000 habitants à Versailles quand il y en a six pour 110 000 habitants à Saint-Denis.
Je conclurai par cette citation, que j'aime beaucoup, d'un professeur de lycée à Saint-Denis : « Il n'y a pas de territoire perdu de la République, mais des territoires que la République abandonne. » Si l'on pouvait évaluer l'ampleur de cet abandon pour y remédier, ce serait une bonne chose.