Voilà pourquoi nous avons inscrit dans la loi une chose qui devait être clarifiée. Nous traitons d'une matière qui, à la différence de beaucoup d'autres, nécessite que les choses soient clarifiées, voire rigidifiées. J'insiste sur le fait que la garde à vue est un moment vraiment particulier, et je ne vois pas ce qui nous empêcherait d'apporter une protection supplémentaire aux femmes, d'autant que nous ne modifierions pas en profondeur la loi et que nous ne bousculerions pas l'édifice législatif.