Je voudrais redire que ce qui nous réunit est la volonté que les gens qui le souhaitent ne soient pas harcelés par téléphone. C'est exactement ce dont nous parlons. Nous sommes donc tout à fait sur la même ligne et nous visons le même objectif.
Nous n'opposons pas une logique d'emploi à une logique humaine : nous cherchons la manière la plus efficace de protéger les familles et les personnes vulnérables. On ne balaie pas non plus d'un revers de main le sujet de l'emploi.
S'agissant du plastique, je vous invite à reprendre ce que j'ai dit moi-même sur ces bancs et en commission des affaires économiques, car j'avais été relativement diserte sur ce sujet. Je vous assure, il y a une continuité intertemporelle et une certaine cohérence dans nos propos.
S'agissant de votre proposition, je m'en remets à la sagesse de l'Assemblée. Je pense que votre proposition a du sens, mais nous visons aussi une adoption rapide du texte par le Sénat. Je vous livre les clés du dispositif !