Il s'ensuit une cinquième leçon de choses, en forme de question. Je sais que l'Inspection générale des finances enquête actuellement pour déterminer les responsables de ce fiasco. Elle s'intéresserait à MM. Sapin, Eckert, Moscovici et à François Hollande. Franchement, je m'étonne que le nom d'Emmanuel Macron ne soit pas cité, puisqu'il était secrétaire général adjoint de l'Élysée chargé notamment de toutes les questions budgétaires, fiscales et économiques, lorsque cette taxe a été instituée sous le gouvernement Ayrault en 2012. Devenu ministre de l'économie, il a maintenu la taxe. À une telle fonction, pouvait-il ignorer qu'il y aurait des recours de la part du patronat ?