Pour répondre à M. Prud'homme, je n'ai jamais dit que les attachés parlementaires étaient des robots. Simplement, au vu de la quantité industrielle d'amendements et de sous-amendements identiques visant à introduire des modifications de pure forme – dont certains, au passage, réclamaient la suppression d'expressions dont la sagesse devrait pourtant susciter l'unanimité – , j'ai simplement émis l'hypothèse qu'ils avaient pu être rédigés de manière automatique, à l'aide de robots ou de machines.