Plus sérieusement, nous savons à quel point le tourisme aura un impact sur la filière agricole et sur l'économie réelle de nos territoires. D'où nos interrogations quand nous entendons la ministre dire que le Gouvernement va commencer à serrer les boulons, à réduire la voilure de la prise en charge du chômage partiel.
Bruno Le Maire avait évalué le coût du chômage partiel à quelque 24 milliards d'euros. Alors, de quelle enveloppe disposez-vous, pour quelle durée ? Avez-vous les budgets qui permettent d'aller au-delà des effets d'annonce et des lapalissades – demain il fera beau s'il ne pleut pas, on va aider ceux qui en ont besoin ?
Concrètement, aurez-vous les moyens d'être au chevet de ceux qui vont subir et souffrir dans la durée, notamment les acteurs excellemment évoqués par Stéphane Travert ?