Je voudrais mettre le rapporteur face à ses contradictions. Tout à l'heure, pour justifier qu'on pique dans la poche des salariés ou des comités d'entreprise, il a expliqué qu'un fonds spécifique était nécessaire pour soutenir les restaurateurs ; maintenant, pour refuser un amendement tendant à inclure les brasseurs parmi les bénéficiaires de ce fonds, il avance que les dispositifs de droit commun suffiront à les aider.