Les travailleuses et travailleurs sont réquisitionnés pour faire face à la crise. Certains voient leur droit de retrait bafoué. Ils et elles seront contraints de travailler la boule au ventre, souvent sans les protections nécessaires, et jusqu'à l'épuisement.
Pour toutes ces raisons, l'amendement vise à supprimer les dispositions prévues dans la loi du 23 mars 2020.