Prenez donc la parole si vous la voulez, mon cher collègue.
Nous sommes inquiets, disais-je, de voir combien le risque est grand que le jour d'après ressemble au jour d'avant, en pire, et que vous profitiez de cette crise pour réduire encore un peu plus les protections nécessaires à nos concitoyens et aux salariés qui font vivre nos entreprises.
Voilà le sens de l'amendement que nous proposons – à moins que vous confirmiez que toutes ces questions ne sont pas à l'ordre du jour, ce dont nous prendrions acte.