La hausse du seuil de revente à perte ainsi que l'encadrement en valeur et en volume des promotions pour les denrées alimentaires sont deux outils qui ont été au centre des états généraux de l'alimentation, puis de la loi EGALIM, qui en a découlé.
En vue de soutenir le modèle construit avec l'ensemble des parties prenantes et afin de ne pas recréer un déséquilibre dans la relation entre les producteurs et les distributeurs, il ne paraît pas souhaitable de revenir sur l'encadrement des promotions.
Je tiens à ajouter que cet amendement a été rédigé en collaboration avec les Jeunes agriculteurs.