C'est mon cas, et c'est précisément ce qui fait la différence entre l'exécutif et certains députés de l'opposition.
Je reconnais, monsieur le ministre, que vous ne retenez pas toutes les dispositions de l'état d'urgence sanitaire. Encore heureux que l'on puisse retourner au restaurant ou sortir dans la rue ! Toutefois, je m'offusque que vous mainteniez certains autres éléments sans motif valable. La réalité, c'est que vous maintenez un état d'urgence – et vous n'échapperez pas au procès d'abus de pouvoir.
Oui à la vigilance ; non à des mesures totalement décorrélées des motifs exposés dans le projet de loi.