Nous ne savions pas encore que vous n'aviez pas mis à profit les mois précédents, au cours desquels vous étiez au courant de la situation sanitaire mondiale, pour préparer l'arrivée de cette crise en France.
Ce 6 mars, nous avions la naïveté de vous faire confiance, monsieur le ministre. Nous appelions la population au calme, dans le Haut-Rhin, en les invitant à vous faire confiance. Nous avons eu tort et c'est bien parce que nous ne vous faisons plus confiance que nous nous opposons à l'adoption de cet article 1er.