Ils doutent de la reconnaissance de la société quand ils font l'objet de procès très injustes en violences, en racisme, en inaction, forcément généralisés, et que, dans le même temps, ils ne reçoivent pas de leur ministre le soutien spontané, ferme et sans ambiguïté qui doit leur être apporté.
Nous saluons le professionnalisme, le sang-froid et l'engagement total des gendarmes, des policiers, de leurs états-majors et, je le dis comme député de Dijon, des préfets.