Je soutiens cet amendement de suppression, car autoriser le prélèvement sur une personne majeure protégée revient à méconnaître la nécessité d'entourer ces personnes d'un surcroît de protection.
Je regrette l'accroissement des prélèvements de cellules souches hématopoïétiques dans la moelle osseuse au détriment des prélèvements du sang de cordon – nous devrions examiner cette question. J'indique à cet égard que se trouve à Besançon, la capitale du département dont je suis originaire, la première banque de sang de cordon de l'histoire – le lieu fait référence – et aussi la première en volume. J'aimerais, monsieur le ministre de la santé, vous entendre sur ce point.