J'en conviens et nous cherchons tous des solutions pragmatiques aux problèmes que nous avons à résoudre. Je ne pense pas cependant qu'on puisse le faire sous cette forme et c'est la raison pour laquelle je serai défavorable aujourd'hui à une solution qui serait trouvée – pardonnez-moi le terme – « à l'arrache », sans que nous en mesurions les conséquences, en recourant à des médecins qui n'ont pas la spécialité requise.
Je conviens en revanche qu'il faut examiner rapidement cette question et je demanderai à mes services de s'y employer, afin que nous puissions réfléchir à des solutions. Aujourd'hui, cette situation pénalise beaucoup les entreprises et les salariés, qui sont maintenus dans l'incertitude lorsqu'ils reprennent le travail après une période d'inaptitude. Tout le monde est donc pénalisé et nous devons trouver une solution opérationnelle – qui peut être d'ordre législatif ou réglementaire, ou qui peut être un programme d'action, car il existe plusieurs pistes. Avis défavorable, donc, aujourd'hui, mais nous étudierons cette question et reviendrons vers vous.
Le 16/07/2017 à 09:06, Laïc1 a dit :
"J'en conviens et nous cherchons tous des solutions pragmatiques aux problèmes que nous avons à résoudre."
Finissez-en alors avec le numerus clausus, cessez les atteintes au droit d'étudier et au droit à exercer le métier que l'on veut, vous êtes soit-disant progressiste, prouvez-le. Ne soyez pas les héritiers, puisque l'on parlait d'héritage, de la rapacité financière de l'ancienne médecine.
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