Opposer l'observation à l'action, c'est faire un mauvais procès. Je mentionnais tout à l'heure les 150 guides et vade-mecum publiés par l'observatoire, qui ont permis de rénover et de construire des écoles avec soin, en prenant en considération la prévention des risques – par exemple celui de l'amiante. Cet outil s'est donc révélé très précieux, en rendant possible une action cohérente et efficace.
D'autre part, personne n'a répondu à une question à laquelle, il est vrai, seul le Gouvernement peut répondre : comment peut-on renforcer les pouvoirs de l'observatoire en juillet 2019 – dans la loi pour une école de la confiance – et le supprimer un peu plus d'un an après ? Il y a là une contradiction majeure entre deux lois voulues par le même Gouvernement.