Franchement, je n'ai pas bien compris le sens de cet article 4 et j'ai été heureux de voir qu'Éric Coquerel, qui s'est exprimé tout à l'heure, l'avait lui aussi trouvé abscons. Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement. Or cette partie du texte n'est absolument pas claire. La fatigue peut jouer aussi, c'est vrai, et pour chacun de nous.
Je le répète depuis le début : il n'y a pas d'urgence, il n'y a aucune nécessité de traiter ce genre de questions dès cet été, comme s'il y allait de l'avenir et de la santé du pays. C'est l'Élysée qui a fait de ces questions une obsession mais je répète, chers députés de la République en marche, que vous n'êtes pas condamnés à faire de cette manie la vôtre ! Songez qu'il y a aujourd'hui des tas de questions sur lesquelles nous pourrions agir pour améliorer la situation du pays, comme le handicap ou la finance par exemple. Il serait beaucoup plus urgent de prendre des ordonnances pour traiter ces sujets que pour faire des textes complètement abscons. Vous avez l'occasion de marquer votre « lien d'insubordination » à l'égard de l'Élysée !