Je souscris aux propos du rapporteur général. Nous parlons de l'utilisation de résidus, non d'une incitation à produire de l'huile de palme supplémentaire. Et je partage la définition que les douanes françaises donnent de ce produit. J'insiste : il ne s'agit pas d'encourager je ne sais quelle filière de production supplémentaire d'huile de palme, mais de traiter des résidus.
Par ailleurs, et comme l'a précisé M. le rapporteur général, nous aurons l'occasion de durcir les conditions d'utilisation du soja dans un instant.