Mauvais poisson, en effet : ce serait un état d'urgence sanitaire qui ne dirait pas son nom.
Nous proposons une date crédible, celle d'ailleurs que nous avons défendue précédemment, le 1er octobre notamment. La logique est claire : elle consiste à donner au Gouvernement les moyens d'agir. Parce que oui, il y a péril en la demeure, nous ne le contestons pas. Les fêtes de fin d'année seront compliquées à gérer : en plus des rassemblements familiaux, il faut aussi que le commerce puisse s'exercer normalement. Nous avons déjà eu les gilets jaunes en 2018 et d'autres péripéties en 2019 ; nous en serions au troisième Noël où les familles auraient du mal à se réunir et le commerce à se déployer. Cela ferait beaucoup ! Joyeux Noël ! Dans ces conditions, le Père Noël serait un peu une ordure, si vous me permettez l'expression et la référence.