Je ne suis pas sûr que mon intervention sera contradictoire car, comme notre collègue Schellenberger, j'ai le sentiment qu'on peut difficilement faire l'économie de la consultation obligatoire de certains organismes avant de prendre une ordonnance, surtout dans la période difficile où nous nous trouvons, et j'estime moi aussi que, plutôt que de supprimer les consultations obligatoires, on pourrait envisager d'en réduire les délais afin de les ramener à une semaine ou cinq jours – il me semblait qu'un consensus s'était dégagé sur ce point. Ainsi, les autorités pourraient tout de même être éclairées avant de prendre une décision sur un sujet sensible.