Une fois n'est pas coutume, permettez-moi tout d'abord, monsieur Gosselin, de vous remercier pour la responsabilité des propos que vous avez tenus à l'égard du couvre-feu, outil dont vous avez rappelé la nécessité pour lutter contre l'épidémie. Cela faisait longtemps que je n'avais pas entendu les intonations que j'y ai retrouvées, et qui laissent à penser que, dans la période que nous allons traverser, l'unité nationale est peut-être possible.