Je trouve les propos du président de la commission des finances non seulement séduisants, mais savoureux. De fait, la droite peut tirer la substantifique moelle de cette décision gouvernementale.
On voit bien ce qu'il en sera demain, malgré les récriminations de M. le ministre, lequel utilise d'ailleurs nos propres arguments, à savoir qu'il faut arrêter le dumping fiscal et harmoniser les taux à l'échelle européenne.
En politique, il faut savoir appeler un chat un chat : aujourd'hui, vous réunissez les conditions pour aller encore plus avant dans les cadeaux fiscaux aux entreprises.