Mme la ministre déléguée a été très claire : vous voulez « des marges de manoeuvre ». Vous en êtes au point où vous ne supportez plus que l'opposition dise quoi que ce soit. M. le ministre de la santé est parti en vrille hier car il est tellement habitué à avoir devant lui un océan de satisfaction qu'il n'imagine même plus la contradiction ! Vous ne la supportez plus, vous voulez faire abstraction de tout. La marge de manoeuvre, c'est supprimer le Parlement. Voilà votre politique !