Comme vous l'aurez compris, nous souhaitons combattre la création d'un droit à l'enfant. Nous vous avons proposé d'indiquer que l'adoption était une institution protectrice de l'enfant, puis que l'intérêt supérieur de l'enfant était la considération primordiale en matière d'adoption, et vous avez refusé ces deux propositions. Peut-être serons-nous d'accord sur cet amendement qui est, en quelque sorte, de repli. Il vise à préciser que « les besoins spécifiques de l'enfant font l'objet d'une attention toute particulière de la part du juge qui prononce l'adoption ».