La situation au Haut-Karabakh est grave : elle nous interpelle en tant qu'individus, en tant que citoyens, par le désastre humanitaire résultant de plusieurs semaines de conflit meurtrier, mais aussi en tant que parlementaires, car nous ne pouvons que nous inquiéter de l'expansionnisme néo-ottoman du président Erdogan, dont le régime est à la manoeuvre pour soutenir militairement l'Azerbaïdjan. Il nous faut être lucides face aux provocations et aux actions militaires turques…