Le présent texte permettra précisément de vérifier que tout se passe bien, dans l'intérêt des enfants.
Quelques-unes de ces associations ne placent pas en adoption tous les enfants, dont certains se retrouvent donc à l'aide sociale à l'enfance deux, trois, cinq ou dix ans plus tard. Qu'auront-ils vécu pendant ce temps, sans le statut plus protecteur de pupille de l'État, auquel la rapporteure travaille ?