Lorsque j'ai parlé de la réforme du parquet en France et de sa nécessaire indépendance, on m'a rétorqué, à juste titre : « Vous ne voulez tout de même pas le gouvernement des juges, monsieur Bernalicis ? » Il doit en effet y avoir une responsabilité politique ; le seul souverain que l'on connaisse, c'est le peuple et personne d'autre !