Aujourd'hui, certains usent et abusent de nos frontières : elles arrêtent policiers et magistrats, mais elles n'arrêtent pas les malfrats ; le rôle des parlements nationaux comme du Parlement européen devrait être de pousser pour avancer dans ce sens.
J'espère qu'un jour, un gouvernement le comprendra : une coopération renforcée à vingt-deux, c'est déjà très bien ; mais encore faudrait-il ne pas s'occuper uniquement du budget européen, mais aussi de la sécurité, de la santé et de la moralité de l'ensemble des peuples de l'Union européenne.