Tout d'abord, je rappelle que le Conseil d'État a émis un avis sur la question. Par ailleurs, la personne mise en cause pourra contester cette décision devant un juge des libertés et de la détention, puis en appel : il y a donc deux regards qui ne sont pas celui du procureur européen délégué.
J'en profite pour vous répondre, monsieur Aubert.