Monsieur Lecoq, j'aurais aimé vous faire plaisir en sous-amendant votre amendement, mais il se trouve que celui-ci est inopérant en matière de limitation de la récidive. En effet, celui qui veut récidiver le fera, quoi qu'il arrive : après un premier recours à la convention, il y aurait un procès – pas forcément plus dissuasif que la CJIP, d'ailleurs. D'une certaine manière, on tourne en rond. Je ne veux pas qu'il y ait d'effet mécanique, automatique : je préfère, je le répète, que les sanctions soient individualisées.