Je ne reviendrai pas sur les propos que j'ai déjà tenus : il me semble que nous avons présenté ici tous les tenants et aboutissants du débat. Nous partageons tous, je crois, la volonté de procéder à ces stérilisations. Chacun sait combien cet enjeu est important. Chacun sait également – il ne faudra surtout pas l'éluder – que la question du financement se posera. J'ai fait tout à l'heure le point sur ce sujet en m'en remettant à la sagesse de l'Assemblée. Telle est ma position sur l'amendement de suppression. Je partage par ailleurs l'avis du rapporteur général sur l'amendement no 318 .